vendredi 7 mai 2010

Uncontrollable losses of control-part 2

Pour public averti...

Les bouts qui sont en jaune pâle, c'est pour Miki et Véro: c'est ce que j'ai modifié/ajouté par rapport à ce que vous avez lu jeudi.

J’étais bien décidée à me satisfaire, mais pas question que je lui laisse la chance de s’échapper. Pendant que Kaïtos regardait Laurian s’éloigner, je me suis avancée derrière lui et je l’ai retourné vers moi en le tenant par l’épaule. J’ai passé mon autre main derrière sa tête et je l’ai embrassé. Tout en le tenant, je l’ai fait basculer sur le sol pour qu’il soit sur moi. Il s’est débattu, mais il n’était pas question que je le laisse m’échapper. Je n’avais qu’un but : terminer ce que j’avais commencé.

J’ai commencé à déshabiller Kaïtos tout en continuant de l’embrasser, sur la bouche, dans le cou, sur chaque centimètre de peau que je voyais… Dès que j’ai pu, j’ai glissé mes mains sous son chandail pour le caresser. Je voulais le toucher, partout, et de toutes les façons possibles. Son torse, son dos, ses fesses… Rien n’a échappé à mes doigts.

Kaïtos se débattait toujours, mais de moins en moins. Pour achever de le convaincre, j’ai commencé à me frotter contre lui, une jambe passée autour de sa taille. J’ai fini par le gagner à ma cause. Il m’a agrippée par les deux poignets et m’a plaquée sans ménagement sur le sol. Il a plaqué ses lèvres sur les miennes presqu’aussitôt. Je croyais avoir réalisé à quel point j’avais envie qu’il réponde à mes baisers, mais je me trompais. Dès qu’il s’est emparé de mes lèvres et que j’ai senti sa langue se glisser dans ma bouche, je n’ai pas pu m’empêcher de gémir.

Tandis qu’il m’embrassait, il s’est plaqué contre moi, on aurait dit le plus qu’il le pouvait. Je sentais qu’il me voulait autant que moi je le voulais. Si nous n’avions pas été encore habillés (en partie), je crois qu’il m’aurait prise sur-le-champ. J’avais très envie qu’il le fasse, mais d’un autre côté, ses lèvres et ses mains sur ma peau m’excitaient au plus haut point.

Quand il a finalement arrêté de m’embrasser, j’ai pu de nouveau respirer, mais seulement pour un court instant. Quand il a recommencé à m’embrasser, je l’ai senti encore plus empressé qu’il y a à peine quelques instants. Je croyais que j’allais perdre mon souffle quand ses lèvres sont finalement descendues le long de mon cou. De lui-même, mon corps s’est adapté au plaisir que Kaïtos me donnait. J’ai penché la tête par en arrière pour mieux lui offrir mon cou et je me suis cambrée contre lui.

Mes poignets étaient toujours immobilisés, mais seulement par une de ses mains. Son autre main est descendue sur ma poitrine et m’a enlevé, je pourrais même dire arraché, le peu qu’il me restait pour la couvrir. Ses doigts ont pétri mes seins et il s’est mis à jouer avec les pointes jusqu’à ce qu’elles durcissent. C’est à ce moment-là qu’il a lâché mes poignets pour pouvoir me caresser de ses deux mains. Sans être doux, il n’était pas violent et c’était parfait comme ça.

J’ai glissé mes doigts dans ses cheveux, m’accrochant à lui de toutes mes forces. Quand ses mains sont descendues sur mon ventre, c’est sa bouche qui a pris le relais. Il m’embrassait et me mordillait, me faisant gémir, appeler son nom et pousser des petits cris de protestation, pas parce que je n’aimais pas ce qu’il me faisait, mais parce que je voulais au contraire qu’il continue et même qu’il aille plus loin. «Continue», l’aie-je supplié d’une petite voix, entre deux gémissements. Comme s’il avait besoin que je lui dise pour le faire…

Mais avant toute chose, il fallait que je mette Kaïtos plus à l’aise. Il n’y avait pas de raison pour que je sois la seule qui soit à moitié nue. J’ai donc fait remonter son chandail et je l’ai forcé à lever les bras pour que je puisse le lui enlever. That’s better… J’ai ensuite pu caresser son dos comme je le voulais, glissant mes mains petit à petit jusqu’à ses fesses pour les agripper.

Les mains de Kaïtos descendaient aussi, me rapprochant de plus en plus –je le croyais- du moment où je serais complètement nue. Mon pantalon était en effet complètement détaché et je croyais qu’il s’apprêtait à me l’enlever et à faire subir à ma culotte le même sort qu’à ma brassière. Mais au lieu d’achever de me déshabiller, il a glissé une de ses mains dans mes sous-vêtements. Personne ne m’avait jamais touchée à cet endroit, en tout cas pas de cette façon. J’ignorais que ça pouvait se faire et surtout que ça pouvait procurer autant de plaisir. Ses doigts se sont insinués en moi et il s’est mis à me caresser avec son pouce en faisant des petits cercles, à cet endroit si sensible.

Sans même que je ne m’en rende compte, je me suis mise à crier. Mais je n’avais pas mal, bien au contraire. Tout était nouveau pour moi, mais je me suis complètement laissé aller. Plus je criais et plus il me caressait. Plus il me caressait et plus je criais. C’était comme un cercle sans fin. Mon corps a cessé de m’appartenir. Il appartenait à Kaïtos et au plaisir qu’il me donnait. Je ne contrôlais plus rien. Je ne faisais que crier et me tortiller sous ses caresses, tandis que je sentais une vague de plaisir de plus en plus forte monter en moi. Je me sentais sur le point d’exploser quand Kaïtos a tout arrêté. What? Why are you stopping? It’s torture...

Il ne m’a pas répondu et il s’est éloigné de moi. Je t’interdis de t’éloigner. Je… Oh. Il voulait seulement achever de me déshabiller. Enfin… Quand j’ai été nue, j’ai agrippé la ceinture de son pantalon pour pouvoir le tirer vers moi. Une fois à mon niveau, je l’ai embrassé et j’ai entrepris de détacher son pantalon. L’empressement me rendait très maladroite. Kaïtos m’a aidée, mais il était aussi fébrile que moi.

Son pantalon a à peine eu le temps d’être détaché et ouvert que Kaïtos se penchait sur moi et me prenait. Jusqu’à ce moment-là, une petite partie de moi avait peur, peur que ça fasse mal. Mais je m’en suis fait pour rien, à tous les points de vue. Il s’est mis à aller et venir avec vigueur, on aurait dit plus profondément à chaque coup de rein. J’ai essayé de faire descendre son pantalon le plus possible avec mes pieds et quand j’ai fini par abandonner, j’ai passé mes jambes autour de lui. J’ai passé mes doigts dans ses cheveux pour tirer sa tête vers la mienne et l’embrasser jusqu’à ce que ce soit lui qui en perde le souffle. Ses mains à lui se promenaient sur mon corps de haut en bas et laissaient leur marque partout, comme si Kaïtos voulait que je lui appartienne dans les moindres détails.

J’ai fini par perdre toute notion du temps. Nous nous roulions l’un sur l’autre, nous embrassant, nous caressant, nous accrochant l’un à l’autre comme si c’était la dernière chose que nous faisions… Je sentais que je perdais de nouveau le contrôle de mes réactions : je respirais de plus en plus rapidement, mon cœur battait à très grande vitesse. Je me suis mise à gémir, de plus en plus souvent, appelant son nom entre chaque cri. Puis il y a finalement eu l’explosion. Alors c’est ça un orgasme? Whoa…

Kaïtos s’est laissé tombé sur moi et il y est resté quelques instants, jusqu’à ce qu’il se laisse rouler sur le côté. Je ne savais pas ni quoi dire ni quoi faire, alors je suis restée allongée près de lui, savourant le calme qui revenait en moi. Quand tout est revenu à la normale, mes pensées ont dévié sur ce qui venait de se passer et sur Kaïtos, allongé à côté de moi, nu. J’ai recommencé à avoir des envies, des envies d’abuser de Kaïtos, mais aussi des envies de m’amuser un peu avec lui. J’avais envie de le toucher à certains endroits. Je voulais savoir jusqu’où je pouvais le faire réagir.

J’ai étiré ma tête jusqu’à lui et j’ai embrassé et mordillé son épaule, pour attirer son attention. Quand il s’est tourné vers moi, j’ai commencé à faire glisser mes doigts le long de son bras, pour le faire frissonner. Tout en gardant mes yeux sur son visage, j’ai fait remonter mes baisers de son épaule jusqu’à son cou, puis je suis redescendue jusqu’à son torse. J’étais accotée sur un coude et de mon autre main je l’ai caressé, partout où je le pouvais. Son visage, son cou, ses épaules… Puis je suis tranquillement descendue de son torse, à son ventre, à plus bas…

Je l’ai d’abord touché tout doucement, avec mes doigts, jusqu’à ce que je sente Kaïtos réagir. Puis j’ai refermé ma main dessus et j’ai entamé un mouvement de va-et-vient de bas en haut. C’était très excitant de le sentir se durcir sous mes caresses et surtout d’entendre Kaïtos réagir à ce que je lui faisais. Je voulais voir jusqu’où je pouvais le faire réagir alors j’ai accéléré le rythme. Mais Kaïtos ne m’a pas laissé aller jusqu’au bout. Il m’a agrippée par les hanches et m’a installée sur lui. Pour éviter qu’il ne prenne le contrôle, je me suis penchée vers lui et tout en l’embrassant, j’ai repris son entrejambe dans ma main et je l’ai introduit en moi.

C’était à moi d’agir cette fois-ci. Je me suis redressée et j’ai commencé à bouger. Je me sentais un peu maladroite, je n’étais pas totalement certaine de la façon dont je devais bouger, mais Kaïtos savait quoi faire. Il a placé ses mains sur mes hanches et m’a guidée. Son aide m’a été précieuse, mais bien vite j’ai pu me débrouiller seule. J’ai laissé mes mains à plat sur son ventre, essayant de bouger pour qu’il soit le plus profondément possible en moi, me penchant parfois vers lui pour l’embrasser, mais le plus souvent le regardant de haut et joignant mes mains aux siennes pour me caresser.

De lui-même, mon corps a accéléré le rythme jusqu’à ce que j’aie mon orgasme. À ce moment, j’ai enfoncé mes ongles dans sa peau et je me suis cambrée. Même si je l’avais voulu, je n’aurais pas pu retenir le cri de plaisir qui s’est échappé de mes lèvres.

Je suis restée au-dessus de Kaïtos jusqu’à ce que ma respiration cesse d’être haletante. Je me suis ensuite laissée glissée lentement sur lui jusqu’à ce que je sois couchée sur lui, ma tête au creux de son épaule. J’étais si bien que je me suis blottie contre lui et j’ai fermé mes yeux.

Je pense que je me suis endormie, parce que quand j’ai de nouveau ouvert mes yeux, j’étais couchée sur le côté et Kaïtos était derrière moi, dans la même position que moi, une main posée sur ma hanche. Je ne sais pas s’il était endormi, mais peu m’importait. Il ne me restait qu’à espérer qu’il aimait se faire réveiller de cette façon…

J’ai arqué mon dos pour que mes fesses se retrouvent collées contre son bassin et j’ai commencé à me frotter dessus. Il n’en fallu pas longtemps pour que j’en sente les effets... Kaïtos a déplacé sa main sur ma hanche pour saisir ma jambe sous la cuisse et la soulever et il m’a prise dans cette position. Quand il s’est mis à bouger, je me suis accotée sur un coude et j’ai tendu mon autre bras vers lui pour lui agripper une fesse, parce que j’avais envie de le caresser et aussi parce que je voulais le garder contre moi.

Je venais de trouver ma position confortable quand Kaïtos m’a lâchée et qu’il s’est retiré. J’ai à peine eu le temps de lui demander ce qu’il foutait qu’il m’a retournée sur le ventre. Il a ensuite placé ses deux mains sur mes hanches et il m’a tirée vers lui, assez vite pour m’écorcher les genoux sur le plancher. Il avait l’air tellement pressé que j’ai eu un peu peur. Mais je m’en faisais encore pour rien. Oui, il était rough, sensiblement plus qu’au début, mais il ne me faisait pas mal, et jamais il ne me serait venu à l’idée qu’il puisse être violent. Je l’ai donc «laissé faire ce qu’il voulait», adaptant mon corps du mieux que je le pouvais au sien.

De toute façon, pourquoi aurais-je protesté quand c’était si agréable? Si j’avais eu le malheur d’ouvrir la bouche pour autre chose que gémir ou crier, je ne doutais pas que Kaïtos aurait su me toucher là où il le fallait pour me faire taire.

Quand il en a eu fini avec moi, mes genoux m’ont lâchée et je me suis laissé tomber sur le plancher. Je me sentais faible… Et j’avais mal partout… Mais c’était un mal dont je ne me plaignais pas, au contraire. J’aurais recommencé tout de suite si je ne m’étais pas sentie aussi faible.

I was disappointed, but not worried.

And I was right.

Time went by and we went on, and on, and on...

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Renren a dit…

tous les angles, toutes les positions possible lmao^^

Karina a dit…

Tout plein de plaisir ^-^
Vous allez nous revenir épuiser et comblez lol ...

Eos / Michael a dit…

je maintiens, tu as sûrement lu beaucoup de livre arlequin dans ta vie toi !!!!